[libre] Une journée tranquille... ou pas...

Camille était comme toujours bien matinale, et apres une douche et un petit déjeuner elle était partie préparée ses affaires pour la journée. Elle était -comme toujours en semaine- vetue de l'uniforme de l'ogueil. Un petit coup d'oeil par la fenêtre lui indiqua qu'il faisait moche ce jour-là. De gros nuage noirs était une promesse depuis. Cependant, il se semblait pas encore y avoir trop de vent. Ca faisait maintenant trois jours que le temps était comme ça et le dortoir suintait de l'humidité des vetements trempés.

Elle reangea correctement ses affaires de douche, à leur place habituelle, puis pris son sac de classe - préparé la veille au soir, la jeune fille étant très consciencieuse, et chercha son parapluie. Il était normalement suspendu au pied de son lit, mais elle ne le voyait pas. Serait-il possible qu'elle l'ai mis ailleurs ? Non, elle n'était pas si bette, tout de même. Elle se savait ordonnée, et remettait toujours les choses à leur place. Restait donc deux solutions : soit on l'avait volé - ce qui était assez probable en ces lieux, soit elle l'avais oublié quelque part ailleurs dans l'école. après quelques secondes de refléxion, elle se souvint qu'elle était passé à la salle commune avec quelques "amis" après le repas. Elle était sure d'avoir pris son parapluie en sortant du refectoire mais elle ne l'avait plus en arrivant au dortoir. Elle 'lavait probablement oublié là-bas.

Elle sortit en courrant presque - mais Camille ne court pas dans les couloirs, ce n'est pas féminin - pour se diriger vers la salel commune. En ces lieux, quelles était les chances qu'un objet oublié survive toute une nuit ? Elle avait cependant pris ses affaires de classe avec elle. Il était trop tôt pour les cours, mais elle avait l'habitude d'arriver très en avance et d'en profiter pour travailler.

Elle ne remarqua pas tout de suite Irène en entrant dans la pièce. Non, ce ne fut que quand sn regard fit le tour de la pièce pour chercher l'objet manquant - chouette, il était toujours là, près de la fenêtre - qu'elle remarqua la jeune fille de la colère. Aïe. Ce n'était pas la première fois qu'elle la croisait, et connaissait sa réputation. C'est bien pour ça qu'elle éviait généralement de la croiser. Et voila qu'elle se retrouvait seule avec elle, ca ne sentait pas bon...

Elle lui adressa un adorable sourire, ainsi qu'un "Bonjour" enjouée.

"Désolée de te déranger, je ne reste pas longtemps, j'ai juste oublié un truc..."

Elle se dirigea vers la fenêtre rapidement, sans montrer qu'elle craignait un peu de devoir passer devant l'occupante du canapé...

[HJ] Si tu pouvais le dater après le 20 novembre, ça m'arrangerait...

Un jeune fille entra dans la salle commune, elle ne sembla pas m'avoir vu au début mais quand elle me vit, elle se montra aussi sympathique qu'elle pouvait. D'après ce qu'elle venait de dire elle avait oubliée quelque chose, ce quelque chose en question, je le cherchais rapidement du regard et je vis qu'il s'agissait du parapluie qu'il se trouvait sur la fenêtre vu que c'était dans cette direction qu'elle allait. Je me levais avec un sourire qui laissai montrer des intentions bienveillantes, bien que mes pensées étaient tous le contraires et je pris le parapluie qui se trouvait plus près de moi que d'elle. Je me retournais pour la voir et lui dis toujours avec ce sourire :

-Tu ne me déranges absolument pas, au contraire, je m'ennuyais un peu, beaucoup même. C'est bien ce parapluie que tu veux ?

Je lui tendis, faisant mine que j'allais lui rendre sans le moindre problème, en faite, dès qu'elle sera sur le point de le saisir, je comptais la frapper avec jusqu'à ce qu'elle soit inconsciente. Après quelque seconde de réflexion, je me dis que ce ne serait pas très amusant, enfin, juste si, mais juste sur le moment et il faudrait aller chercher une autre victime pour mon seule plaisir. Non, je devais m'amuser avec elle, la faire souffrir à petit feu, comme un insecte auquel on arrache les ailes et qu'on écrase ensuite. Comme cette misérable guêpe qui était rentré une fois dans ma chambre et que j'avais attrapé avec un verre que j'avais volé à la cantine, cette chose misérable avait fini sur ma table de bureau, j'avais soulevé un peu le verre de façon à ce qu'une fois qu'elle est mis ses antennes, j'abaissais le verre. Ses antennes se trouvaient alors coincer entre le bois de la table et le verre du verre, elle se lançait ensuite dans une lutte sans fin, enfin si, jusqu'à sa mort d'épuisement ou autre, pour sortir ses antennes. Moi, je la regardais se débattre, c'était un plaisir telle que je ne pouvais m'empêcher de sourire et de ricaner et quand je commençai à me lasser de cette torture, soit je la laissais mourir comme cela, soit je levais un peu le verre pour ensuite le rabattre voilement sur cet être misérable, je continuais ainsi jusqu'à ce qu'elle soit trancher en deux ou qu'elle ne ressemble plus à grand chose. Bref, j'allais m'amuser avec cette fille comme je l'avais fais avec cette guêpe, j'allais commencer par fouiner dans sa vie et voir qu'elle sont ses secrets, ses atouts et ses point faibles, également qui était ses aillés et voir si je devais faire appelle à des gens que je contrôlais pour m'aider en cas de difficulté.

Je comptais bien m'amuser avec elle un moment, elle était tombé dans mes filets et elle ne pourrait pas s'en échapper, enfin, elle avait peut-être une misérable chance de s'échapper, une chance aussi misérable que cette guêpe. Une fois qu'elle sera bien prise, elle ne pourra plus m'échapper et une fois que j'en aurais fini avec elle, je l'écraserais comme un vulgaire insecte. En faite, je ne pensais pas vraiment qu'elle pourrait s'échapper, elle était entré dans le filet au moment où elle était entré dans la pièce. Je lui rendis donc son parapluie sans faire d'histoire, du moins pour le moment, j'allais commencer à faire ma "gentille", ce n'était pas compliquée, j'avais juste à faire connaissance. Son uniforme disait qu'elle était de l'orgueil et elle devait être plus jeune que moi vu sa taille, bien que j'étais petite, son air était encore un peu enfantin, c'était même plus qu'enfantin, elle donnait l'impression d'être quelqu'un de sage, de trop sage aussi et la façon dont elle m'a abordée, elle a donnée une impression de personne gentille, beaucoup trop gentille... Il était également très tôt, est-ce qu'elle comptait aller en cour à cet heure ? Si c'est le cas, c'est la parfaite élève modèle ou bien elle voulait éviter les ennuis en croisant d'autre personne du au fait de se lever un peu plus tard, voir les deux. Je voulais savoir son nom, je pouvais bien lui demander :

-Tu es de l'orgueil à ce que je vois. Quel est ton nom ?

Si elle ne voulait pas me répondre ou me mentais, je le saurais en allant voir des gens pour avoir des renseignements sur elle. J'avais trouvé une belle occupation maintenant, cela me donnait presque envie d'aller en cour pour interroger des gens de ma classe, plus précisément les personnes soumises dans ma classe.

Elle répondit finalement à ma question, tant mieux, Camille Ecil, hein ? Je me mis à réfléchir quelque seconde, il me semblait avoir entendu quelque rumeurs à son sujet, à sa me revient, la plus grande fayotte que la Terre n'est jamais porté, cela expliquerait pourquoi elle se lève si tôt pour allait en cour. Elle me demanda si j'étais bien de la colère, comment savait-elle cela alors que je ne portais pas mon uniforme, celui-ci a toujours trainé dans ce tiroir et n'a jamais bougé, si elle avait des renseignements sur moi que savait-elle ? Pas grand chose en tout cas, je ne parle pas de moi au gens, elle ne doit savoir que les rumeurs qui traine sur moi et mes "ballades nocturnes". Je décidais de lui répondre quand même, je ne montrais absolument pas qu'elle m'avait intimidé ou autre, bien qu'elle m'avait un peu inquiété, je m'étais dis que je ne risquais rien avec elle. Bref, je lui répondis :

-Effectivement, je fais partie de ceux qui préfère vous balancez son poing ou un objet dans la tronche si vous les provoquez, et je ne fais pas exception à la règle. Je suis également en quatrième année comme tu le dis, tu dois savoir qui je suis alors, puisque tu sembles si bien renseigné, de toute façon, je ne risque rien à te dire mon nom, je m'appelle Irène Feanor. Tu dois me connaître avec cette rumeur sur moi qui dit qu'il ne vos mieux pas me croisez le soir dans les couloirs, sinon je frappe jusqu'à ce que ton corps soit méconnaissable, c'est vrai que j'aime bien me balader le soir mais de là à frapper la première personne que je croise, quand j'en croise une, parce qu'il n'y a presque personne dans les couloirs le soir ou rarement. Certaines personnes ont une imagination assez bizarre parfois, enfin, l'endroit où on est ne peut pas être qualifier de normal lui aussi.

En faite, la rumeur était bien fondé, j'étais allée jusqu'à frapper un élève jusqu'à le mettre dans le coma, il m'avait provoqué aussi, il n'avait eu que ce qu'il méritait après tout. Mais il vaut mieux qu'elle croit que je sois inoffensif, comme ça, qu'elle sera la surprise quand elle verra que c'est tout le contraire, j'étais impatiente de voir cette tête. Je me demandais ce qu'elle allait me répondre et si elle n'allait pas plutôt prendre la fuite plutôt que de continuer à rester dans cette salle, si elle prévoyait d'aller en cour, je n'aurais qu'à dire que je dois y aller aussi et je lui demanderai si je ne pouvais pas faire un bout de chemin avec elle. En ce moment, j'avais un peu de mal à rester impassible, j'avais envie de rire de joie et de bonheur pour avoir trouvé un nouveau jouet, mais si je faisais ça, elle prendrait certainement peur, surtout que mon pouvoir risquait de donner un belle effet de rire de scientifique malade, ce qui gâcherait ce que j'avais fais jusqu'ici. Camille, tu es tombé dans un piège trop grand pour toi, tu ne risque pas t'échapper, en faite, c'est comme si un lièvre réussissait à se coincer dans un piège à loup, il serait tuer sur le coup et son cadavre serait bien amoché et disons que j'allais faire pareil avec elle, bien que cela restait encore un peu différent, qu'est-ce que j'allais m'amuser ces prochains jours et peut-être même semaine.