Morrigan O'Connor [infirmière]

Nom : Mac Ruaidhrí Ua Conchobhairs, pour simplifier, O'Connor

Prénom : Morrigan

Age : 32 ans

Famille : Badb, sa mère, était chirurgien, et étant misanthrope, comme je détaillerai tout cela dans l'histoire, elle faisait souffrir ses patients et en tua plusieurs, faisant passer ses crimes pour des accidents. Radiée de l'ordre médical, elle continua d'exercer clandestinement sa fonction à des prix cassés, mais laissa libre cours à sa haine, et nombre de gens moururent de sa main. Turlach, son père, policier, avait un goût prononcé pour les abus de pouvoir, auprès de ses enfants comme auprès de la société. 675 plaintes ont été déposées contre lui en deux ans d'exercice, avant qu'il ne soit tué par son propre fils, Toirdhealbhac, âgé de neuf ans, engagé dans la pègre.

Description Physique : Un cliché ayant la vie dure, vous ne pouvez le nier, veut que toute Irlandaise a les cheveux roux, les yeux verts, le teint clair et constellé de taches de rousseur. Morrigan remplit ce cliché... à quelques détails près ! En effet, si son impressionnante chevelure de cuivre lui tombant jusqu'au creux des genoux souligne son teint diaphane, Morrigan n'a aucun petit point orangé sur son visage, et ses yeux sont d'un bleu clair troublant, aux formes félines.
Contrairement à ses compatriotes féminines de pure souche irlandaise, ni sa mâchoire ni son ossature ne sont dures et fermes. Ses os sont certes fermes, mais pas autant que les autres femmes de sa terre natale, mais ses traits sont, comme légèrement illustré à l'instant puis poursuivi dans les lignes qui suivront, d'une extrême finesse.
De plus, la jeune femme est de plutôt grande taille, puisqu'elle atteint un mètre soixante-dix-sept, et est repérable, en plus de ses précédentes caractéristiques par sa démarche légère, lente et son style vestimentaire.
Toujours vêtue de noir, Morrigan aime à laisser deviner ses atouts physiques, avec modération cependant pour se préserver au minimum de pervers un peu trop atteints, et porte fréquemment de longues robes, amples ou très près du corps traînant derrière elle.
Ses yeux, mystérieux et clairs, semblent lancer des éclairs ou brûler d'un feu étrange, et son en permanence soulignés de noir, que les fashion-victims aiment à appeler "effet smocky"... si bien qu'ils deviennent charbonneux et accroissent la vision hallucinatoire à sa venue à quiconque y serait sensible.
Ses bras sont souvent couverts de mitaines ou de manches longues à volants, mais son dos généralement nu, parfois visible lorsque sa cascade de feu est éloignée de cette partie, et son cou souvent orné de tours de cou noirs.
Ayant déjà une taille importante par rapport à ses consoeurs, Morrigan porte des talons, de par le sentiment de domination supérieur que cela lui donne. A juste ou mauvaise raison, d'ailleurs.

Caractère : Morrigan vouait une admiration sans bornes pour sa mère, enfermée dans un hôpital psychiatrique.
Ses pensées lui sont fréquemment adressées, et elle prévoit secrètement d'aller la sortir de cette prison stupide. Et de la venger... en attendant, elle s'attache avec joie à son métier d'infirmière, trouvant étrange de soigner des adolescents prétentieux, arrogants, pervers et ingrats, mais elle se console vite en se disant que le premier qui la chercherait sur tous les terrains possibles en payerait le prix. Et de toute façon, elle n'avait pas de soucis à se faire, le règlement intérieur était avec elle... Morrigan aime à voir la souffrance des gens dont elle se délècte, et cherche en permanence les points faibles de chacun. Rancunière, elle n'hésite pas à punir la personne lui ayant planté un couteau dans le dos.
Et elle ne manque pas de ressources à ce niveau-là, comme vous le verrez dans son histoire.
Encore une fois, comme dit précédemment, Morrigan cherche à provoquer les gens, mais aussi à éveiller des sentiments étranges en eux. Se sachant tout à fait attirante, elle fait montre de ses atouts. En cela, elle ressemble aux chats. Comme eux, elle fait les yeux doux, ronronne, puis lorsque quelqu'un lui caresse le ventre, elle feule et griffe. Et n'y va pas de main morte... vous aurez peut-être l'occasion de vous rendre compte à quel point cette image est vraie... Avec un goût prononcé pour les effusions de sang. Mais si vous savez vous attirer ses bonnes grâces, elle saura vous écouter. Et sans doute deviendrez-vous amis... et si le sang vous attire, alors vous le deviendrez sûrement, voire davantage...

Particularité : Morrigan porte souvent son chat blanc, Anbhás (signifiant "mort violente" en gaélique irlandais), sur son épaule ou dans ses bras lorsqu'elle n'est pas au chevet d'un malade ou à lui en faire voir des vertes et des pas mûres. De plus, comme dit plus tôt dans les détails physiques, la finesse de ses traits, le charme de ses formes, l'élégance de ses vêtements, la longueur de ses cheveux flamboyants, la clarté de son teint, la légèreté et la grâce de son pas, ... tout ceci attire l'oeil et font que personne ne peut faire l'impasse sur son passage. Vous, oui, qui sait, mais tôt ou tard, vous vous rendrez compte de son attrait... à vos risques et périls.

Histoire : Née dans la médiévale Graiguenamanagh, "la ville des moines" dans le comté irlandais du Kilkenny, Morrigan, dont le nom est emprunté à celui de la déesse irlandaise de la guerre et de la mort venue à bout du héros Cúchulainn, ne sut pas à quel point elle rendrait honneur à la divinité... Ainsi que nous l'avons dit précédemment, Morrigan a toujours idôlatré sa mère, qui le lui rendait bien. Très tôt, vers l'âge de sept ans, Badb lui a enseigné la médecine, sinon l'aspect bobologie, donc sanguinolent de la discipline, lui montrant notamment sur un patient vivant comment disséquer en se servant de tel ou tel outil.
Le scalpel à huit ans n'avait pas de secret pour elle, ni l'anatomie. Sa mère lui a en plus de cela appris les antidotes au cas où quelqu'un chercherait à l'empoisonner, la liste et les différences chimiques des poisons plus ou moins mortels, les points sensibles de l'être humain - la fameuse artère brachiale vers laquelle son regard est attiré chez chaque être, qu'il soit un enfant, un adolescent, un adulte ou un vieillard...
Son grand-frère, alcoolique déjà, lui servait de cobaye, et lorsqu'il la provoquait, elle menaçait de lui percer cette artère... sa meilleure amie, à savoir sa mère, lui offrit un boa dont elle aimait se parer à la manière des fameuses élégantes aguicheuses et orgueilleuses, et l'emporta une fois en classe... l'ayant énervé au préalable, elle le fit mordre ceux qu'elle n'appréciait pas, jaillissant de cachettes dont elle avait le secret et avec la discrétion qu'elle maîtrisait à la perfection. Ces élèves finirent à l'hôpital, certains y laissant leur vie, d'autres étant traumatisés pour de longues années. Nombreuses furent les plaintes déposées contre l'école qui dut fermer et contre la famille O'Connor. Chassée par la population presque comme on le faisait au Moyen-Age, à coups de fourches et de torches, la famille dut emménager ailleurs. Badb O'Connor, devenue sans emploi à la suite de ses excès chirurgicaux, ouvrit un cabinet de chirurgie aux normes hygiéniques plus que douteuses, et y fit ses opérations avec zèle, poussant la torture des patients à l'extrême, sous l'oeil passionné de sa fille, âgée à présent de quinze ans.
Deux ans plus tard, son père fut assassiné par son grand-frère, dealer "exemplaire", toujours sous l'emprise de l'alcool, de la drogue et de la pègre, désireux d'écarter son père de son chemin vers la richesse.
Furieuse, Morrigan lui trancha lentement à l'aide d'un bout de verre l'artère brachiale. L'effusion de sang, la soudaine paleur cadavérique du frangin l'extasiant.
Elle lécha alors son sang, au fur et à mesure qu'il quittait son corps.
Elle laissa dans le salon le cadavre de son frère, et n'alla pas se laver pour autant.
Ses brillants résultats scolaires faisant l'honneur de sa mère lui donnèrent l'idée d'étudier la médecine, ce qu'elle fit sept ans durant, mais elle préféra le statut d'infirmière pour la fréquence des besoins qu'on en avait, tout en étant armée de son diplôme de médecine. Quoi qu'il arrive, elle saurait administrer les bons - et les mauvais - produits à ses patients.
Morrigan reçut bientôt une lettre de Caliban, le directeur d'une école qui devait avoir entendu parler du talent de sa mère et de ses propres dons médicaux... Une aubaine... tenez, la voici qui arrive. Elle est venue vous chercher...


Pouvoir :
Aïmakhinésie :
Le Flux agit sur le sang de l'infecté, lui permettant de le contrôler comme une autre partie de son corps. Ce qui permet à l'infecté de maîtriser sa pression sanguine, la densité de son sang...
Lorsque le sang est à l'extérieur du corps de l'infecté il ne doit pas rester sous sa forme fluide trop longtemps sous peine de sécher à l'action de l'air, mais sous sa forme fluide l'infecté peut mêler son sang à celui de quelqu'un d'autre ( de compatible pour un don de sang) et l'assimiler à son propre sang -seulement si le sang en question vient seulement de s'écouler du corps de l'autre, il faut qu'il soit frais-.

Péché souhaité : Je n'en ai aucune idée ^^ je vous fais confiance
Année d’étude : (Infirmière, donc disons sept ans de médecine, diplôme de médecine à la clé, plus un an d'école d'infirmière grâce à ses connaissances en la matière)

Donc tout d'abord bienvenue.

Bon, je dois tout de suite dire qu'il y a un truc qui m'a fait bondir, c'est cette histoire d'anaconda. Je ne sais pas si tu vois vraiment à quoi ce genre d'animal ressemble, mais... Certes, ça se vend sur les marchés d'animaux exotiques, mais de là à se balader avec il y a une marge assez énorme. Déjà parce que c'est grand hein, facilement 3 ou 5 mètres pour un mâle, 6 ou 8 pour une donzelle. Ensuite parce que tu peux compter facilement 250kg de serpent, sur soit ça fait un brin lourd. Et bon, il ne faut pas oublier non plus qu'un anaconda n'est pas franchement extrêmement à l'aise pour attaquer sur terre. Sa spécialité reste tout de même de se planquer dans l'eau et d'attendre que la proie approche avant de la choper et de l'asphyxier sous l'eau. Bref, la situation que tu décris est comme qui dirait assez surréaliste à mon sens... Avec un autre serpent pourquoi pas, mais là...

Sinon il faut savoir que pour ce qui est du Val on ne le choisit pas, c'est Caliban qui fait appel à ses employés. L'école n'est pas connue dans le monde ni rien, donc il faudrait s'occuper de changer ça.

(J'ai aussi grincé des dents pour le passage sur les chats, m'enfin les clichés ont la vie dure et je vais pas commencer à argumenter là-dessus, ça n'sert à rien.)

Pour finir pour ce qui est question du pouvoir il faut en choisir un seul. Ah, et pour le champ dans le profil, on pense plutôt à ce que tu fais dans le Val pour métier ou année d'études, de même pour la localisation ^^

Oui, d'accord, pour le serpent, j'ai peut être un peu forcé la dose, je vais en mettre un autre... un boa, par exemple... disons un "bébé boa", ça devrait être plus proportionnel.
Et puis je ne voulais pas mettre de chat pour un cliché, mais simplement parce que moi même, j'adore les chats... je ne suis pas assez stupide pour rentrer dans ce genre de stéréotype qui, tu ne le croiras pas, m'agace beaucoup aussi, en étant une passionnée de légendes. C'est sûr que Morrigan ressemble au cliché de la sorcière, mais si on part de là, tout le monde ici est un cliché... enfin à mon humble avis...
Je vais éditer aussi le passage où Caliban lui proposera d'entrer au Val des Ombres.
Ne t'inquiètes pas, j'avais compris que cette institution n'était pas réputée, mais ç'aurait très bien pu être une école de quartier qu'elle y serait allée...
Je modifie le reste.
Désolée

P.S: Fiche éditée

J'aurai plus vu avec un serpent qui n'soit pas constricteur, m'enfin c'est certes plus proportionnel ^^

Enfin ça me va, donc je vais lancer le débat pour le péché dans la journée. D'avance bon jeu.

Merci, et encore désolée...

T'excuses pas, c'est rien.

Tout d'abord, bienvenue à toi. Ensuite...

Bon, j'ai un léger problème, personnellement

La fiche est bien écrite, certes, mais voilà : la Luxure, la médecine, le goût très prononcé pour le sang... tout ça me fait penser à Violette McGuire, la passion pour le Directeur en moins.
D'un autre côté, si, dans une Ecole de vilains-pas-beaux, la passion pour le sang n'est pas acceptée parce qu'un autre personnage l'a, j'avoue que ça deviendrait quasiment illogique. Et puis ce n'est pas à moi de dire si oui ou non, c'est dérangeant, puisque Violette n'est pas mon personnage.

Donc, j'aimerais l'avis de Violette sur cette fiche avant de poser mon vote, merci (hum, ça fait un peu trop sérieux, tout ça, non ? ).

En effet, j'ai remarqué bien plus tard qu'il y avait déjà un médecin avide de sang...
Merdum de merdum, comme dirait l'autre... bah, peut-être qu'on sera super-amies, se considérant comme les soeurs qu'on a pas eue, et qu'on fera des "trips" sanguinaires...
Mais si ça la dérange que je sois presque parfaitement comme elle, je changerai... je me ferai cannibale et puis voilà ^^

Okay, bah tout va bien, alors.
Je vais déconseiller à tous les élèves d'avoir des problèmes de santé (qui a dit que je les provoquais ?)

On discute donc de ton Péché !

Voici, excuse-nous pour le retard.

Aucun problème pour le retard, et surtout merci ^^ ahaaaa je vais pouvoir entrer dans l'arène... Encore merci !!